Connaissez-vous des chansons d’amour en français ? Avez-vous une chanson d’amour préférée ? Pour moi, c’est presque impossible d’en choisir une. Il y a tellement de belles chansons d’amour dans la langue de Piaf !
Je vous propose d’en découvrir quelques-unes. Laissez-vous porter par la magie de la langue française, si belle quand elle chante l’amour.
Édith Piaf - L'Hymne à l'amour (1949)
Paroles :
Le ciel bleu sur nous peut s’effondrer
Et la terre peut bien s’écrouler
Peu m’importe si tu m’aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu’l’amour inondera mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m’importe les problèmes
Mon amour puisque tu m’aimes
J’irais jusqu’au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J’irais décrocher la lune
J’irais voler la fortune
Si tu me le demandais
Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n’importe quoi
Si tu me le demandais
Si un jour la vie t’arrache à moi
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m’importe si tu m’aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l’éternité
Dans le bleu de toute l’immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Dieu réunit ceux qui s’aiment
Et la terre peut bien s’écrouler
Peu m’importe si tu m’aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu’l’amour inondera mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m’importe les problèmes
Mon amour puisque tu m’aimes
J’irais jusqu’au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J’irais décrocher la lune
J’irais voler la fortune
Si tu me le demandais
Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n’importe quoi
Si tu me le demandais
Si un jour la vie t’arrache à moi
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m’importe si tu m’aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l’éternité
Dans le bleu de toute l’immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Dieu réunit ceux qui s’aiment
Michel Sardou - Je vais t'aimer (1976)
Paroles :
À faire pâlir tous les Marquis de Sade
À faire rougir les putains de la rade
À faire crier grâce à tous les échos, à faire trembler les murs de Jéricho
Je vais t’aimer
À faire flamber des enfers dans tes yeux
À faire jurer tous les tonnerres de Dieu
À faire dresser tes seins et tous les Saints
À faire prier et supplier nos mains, je vais t’aimer
Je vais t’aimer comme on ne t’a jamais aimée.
Je vais t’aimer plus loin que tes rêves ont imaginé.
Je vais t’aimer, je vais t’aimer
Je vais t’aimer comme personne n’a osé t’aimer
Je vais t’aimer comme j’aurai tellement aimé être aimé
Je vais t’aimer, je vais t’aimer
À faire vieillir, à faire blanchir la nuit
À faire brûler la lumière jusqu’au jour
À la passion et jusqu’à la folie
Je vais t’aimer, je vais t’aimer d’amour
À faire cerner à faire fermer nos yeux
À faire souffrir à faire mourir nos corps
À faire voler nos âmes aux septièmes cieux
À se croire morts et faire l’amour encore, je vais t’aimer
Je vais t’aimer comme on ne t’a jamais aimée
Je vais t’aimer plus loin que tes rêves ont imaginé
Je vais t’aimer, je vais t’aimer
Je vais t’aimer comme personne n’a osé t’aimer
Je vais t’aimer comme j’aurai tellement aimé être aimé
Je vais t’aimer, je vais t’aimer
À faire rougir les putains de la rade
À faire crier grâce à tous les échos, à faire trembler les murs de Jéricho
Je vais t’aimer
À faire flamber des enfers dans tes yeux
À faire jurer tous les tonnerres de Dieu
À faire dresser tes seins et tous les Saints
À faire prier et supplier nos mains, je vais t’aimer
Je vais t’aimer comme on ne t’a jamais aimée.
Je vais t’aimer plus loin que tes rêves ont imaginé.
Je vais t’aimer, je vais t’aimer
Je vais t’aimer comme personne n’a osé t’aimer
Je vais t’aimer comme j’aurai tellement aimé être aimé
Je vais t’aimer, je vais t’aimer
À faire vieillir, à faire blanchir la nuit
À faire brûler la lumière jusqu’au jour
À la passion et jusqu’à la folie
Je vais t’aimer, je vais t’aimer d’amour
À faire cerner à faire fermer nos yeux
À faire voler nos âmes aux septièmes cieux
À se croire morts et faire l’amour encore, je vais t’aimer
Je vais t’aimer comme on ne t’a jamais aimée
Je vais t’aimer plus loin que tes rêves ont imaginé
Je vais t’aimer, je vais t’aimer
Je vais t’aimer comme personne n’a osé t’aimer
Je vais t’aimer comme j’aurai tellement aimé être aimé
Je vais t’aimer, je vais t’aimer
Francis Cabrel - Je l'aime à mourir (1979)
Paroles :
Moi je n’étais rien
Et voilà qu’aujourd’hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l’aime à mourir
Et voilà qu’aujourd’hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l’aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu’il vous plaira
Elle n’a qu’à ouvrir
L’espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l’aime à mourir
Tout ce qu’il vous plaira
Elle n’a qu’à ouvrir
L’espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l’aime à mourir
Elle a gommé les chiffres
Des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier
Des éclats de rire
Des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier
Des éclats de rire
Elle a bâti des ponts
Entre nous et le ciel
Et nous les traversons
À chaque fois qu’elle
Ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir
Je l’aime à mourir
Entre nous et le ciel
Et nous les traversons
À chaque fois qu’elle
Ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir
Je l’aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd’hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l’amour aussi
Pour être si forte aujourd’hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l’amour aussi
Elle vit de son mieux
Son rêve d’opaline
Elle danse au milieu
Des forêts qu’elle dessine
Je l’aime à mourir
Son rêve d’opaline
Elle danse au milieu
Des forêts qu’elle dessine
Je l’aime à mourir
Elle porte des rubans
Qu’elle laisse s’envoler
Elle me chante souvent
Que j’ai tort d’essayer
De les retenir
De les retenir
Je l’aime à mourir
Qu’elle laisse s’envoler
Elle me chante souvent
Que j’ai tort d’essayer
De les retenir
De les retenir
Je l’aime à mourir
Pour monter dans sa grotte
Cachée sous les toits
Je dois clouer des notes
À mes sabots de bois
Je l’aime à mourir
Cachée sous les toits
Je dois clouer des notes
À mes sabots de bois
Je l’aime à mourir
Je dois juste m’asseoir
Je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir
Je dois juste essayer
De lui appartenir
De lui appartenir
Je l’aime à mourir
Je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir
Je dois juste essayer
De lui appartenir
De lui appartenir
Je l’aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd’hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l’amour aussi
Moi je n’étais rien
Et voilà qu’aujourd’hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l’aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu’il vous plaira
Elle n’aura qu’à ouvrir
L’espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l’aime à mourir
Pour être si forte aujourd’hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l’amour aussi
Moi je n’étais rien
Et voilà qu’aujourd’hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l’aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu’il vous plaira
Elle n’aura qu’à ouvrir
L’espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l’aime à mourir
Johnny Hallyday - Je te promets (1986)
Paroles :
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets la clé des secrets de mon âme
Je te promets la vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au revoir
Je te promets la vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au revoir
J’y crois comme à la terre, j’y crois comme au soleil
J’y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J’y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J’te promets une histoire différente des autres
J’ai tant besoin d’y croire encore
J’y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J’y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J’te promets une histoire différente des autres
J’ai tant besoin d’y croire encore
Je te promets des jours tout bleus comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J’te promets d’être heureux si tu n’as plus d’espoir
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J’te promets d’être heureux si tu n’as plus d’espoir
J’y crois comme à la terre, j’y crois comme au soleil
J’y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J’y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J’te promets une histoire différente des autres
Si tu m’aides à y croire encore
J’y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J’y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J’te promets une histoire différente des autres
Si tu m’aides à y croire encore
Et même si c’est pas vrai, si on te l’a trop fait
Si les mots sont usés, comme écrits à la craie
On fait bien des grands feu en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d’y croire
On peut juste essayer pour voir
Si les mots sont usés, comme écrits à la craie
On fait bien des grands feu en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d’y croire
On peut juste essayer pour voir
Et même si c’est pas vrai, même si je mens
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J’te promets un moment de fièvre et de douceur
Pas toute la nuit mais quelques heures, hm
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J’te promets un moment de fièvre et de douceur
Pas toute la nuit mais quelques heures, hm
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Zazie - J'envoie valser (1995)
Paroles :
J’en vois des qui se donnent
Donnent des bijoux dans le cou
C’est beau mais quand même
Ce ne sont que des cailloux
Des pierres qui vous roulent
Roulent et qui vous coulent sur les joues
J’aime mieux que tu m’aimes
Sans dépenser des sous
Donnent des bijoux dans le cou
C’est beau mais quand même
Ce ne sont que des cailloux
Des pierres qui vous roulent
Roulent et qui vous coulent sur les joues
J’aime mieux que tu m’aimes
Sans dépenser des sous
Moi je m’en moque
J’envoie valser
Les trucs en toc
Les cages dorées
Toi quand tu me serres très fort
C’est comme un trésor
Et ça, et ça vaut de l’or
J’envoie valser
Les trucs en toc
Les cages dorées
Toi quand tu me serres très fort
C’est comme un trésor
Et ça, et ça vaut de l’or
J’en vois des qui se lancent
Des regards et des fleurs
Puis qui se laissent
Quelque part ou ailleurs
Entre les roses et les choux
J’en connais des tas
Qui feraient mieux de s’aimer un peu
Un peu comme nous
Qui nous aimons beaucoup
Des regards et des fleurs
Puis qui se laissent
Quelque part ou ailleurs
Entre les roses et les choux
J’en connais des tas
Qui feraient mieux de s’aimer un peu
Un peu comme nous
Qui nous aimons beaucoup
Et d’envoyer
Ailleurs valser
Les bagues et les cœurs en collier
Car quand on s’aime très fort
C’est comme un trésor
Et ça, et ça vaut de l’or
Ailleurs valser
Les bagues et les cœurs en collier
Car quand on s’aime très fort
C’est comme un trésor
Et ça, et ça vaut de l’or
Moi pour toujours
J’envoie valser
Les preuves d’amour
En or plaqué
Puisque tu me serres très fort
C’est là mon trésor
C’est toi, toi qui vaut de l’or
J’envoie valser
Les preuves d’amour
En or plaqué
Puisque tu me serres très fort
C’est là mon trésor
C’est toi, toi qui vaut de l’or
Orelsan - Paradis (2018)
Paroles :
Qu’est-ce que j’irais faire au paradis
Quand tu t’endors près de moi?
Qu’ils le donne à d’autres, le paradis
Je n’en voudrais pas
Quand tu t’endors près de moi?
Qu’ils le donne à d’autres, le paradis
Je n’en voudrais pas
Ils disent que, pour tenir un couple, faut l’entretenir tous les jours
Ces connards n’y connaissent rien en amour
Comme si j’devais faire un effort pour t’écouter, comme si j’avais déjà douté
J’aimerais tes défauts si jamais j’arrive à en trouver
Rien n’a bougé depuis nos premiers “je t’aime”
Ça fait sept ans qu’on sort ensemble depuis deux s’maines (paradis)
Ta peine est ma peine, ma vie est la tienne
Ta famille et la mienne sont la même
J’ai abandonné ces chiennes sur le bord de la route
C’est moi qui devrais avoir des doutes parce que tu les baises toutes
J’comprends pas pourquoi tu t’inquiètes quand tu prends du poids
Pour moi, c’est ça d’pris, ça fait toujours plus de toi (paradis)
Tu serais là, si j’repartais à zéro
À m’rappeler les vraies choses, à calmer mes névroses (paradis)
J’avais un p’tit diable sur mon épaule, maintenant, j’ai ta tête sur mon épaule
Ces connards n’y connaissent rien en amour
Comme si j’devais faire un effort pour t’écouter, comme si j’avais déjà douté
J’aimerais tes défauts si jamais j’arrive à en trouver
Rien n’a bougé depuis nos premiers “je t’aime”
Ça fait sept ans qu’on sort ensemble depuis deux s’maines (paradis)
Ta peine est ma peine, ma vie est la tienne
Ta famille et la mienne sont la même
J’ai abandonné ces chiennes sur le bord de la route
C’est moi qui devrais avoir des doutes parce que tu les baises toutes
J’comprends pas pourquoi tu t’inquiètes quand tu prends du poids
Pour moi, c’est ça d’pris, ça fait toujours plus de toi (paradis)
Tu serais là, si j’repartais à zéro
À m’rappeler les vraies choses, à calmer mes névroses (paradis)
J’avais un p’tit diable sur mon épaule, maintenant, j’ai ta tête sur mon épaule
Qu’est-ce que j’irais faire au paradis
Quand tu t’endors près de moi?
Qu’il le donne à d’autres, le paradis
Je n’en voudrais pas
Quand tu t’endors près de moi?
Qu’il le donne à d’autres, le paradis
Je n’en voudrais pas
Notre amour est la seule vérité
Nos enfants donneront aux Nazis l’envie d’avoir des enfants métissés
Main dans la main, vieux et fripés
On s’rappellera les soirées qu’on faisait tous les deux à fumer des clopes, déchirés
À danser au milieu du salon, tu taffais dans deux heures
Les yeux imbibés d’alcool, déguisés en Chopper
Quand tu t’marrais à mes blagues les plus nulles
Quand on s’donnait des surnoms ridicules
On dit qu’le temps détruit mais l’temps n’est pas notre ennemi
Parce que plus j’te connais et plus j’me sens béni
Assez béni pour t’emmener à l’église
Dire au prêtre “oublie l’truc où la mort nous sépare, on va rester dans cette vie” (paradis)
On aura plein d’enfants parce que y a qu’ça qui compte
On dormira empilés comme des Maximonstres (paradis)
J’vais enfin pouvoir me poser
La réponse à toutes mes questions s’endort à mes côtés
Nos enfants donneront aux Nazis l’envie d’avoir des enfants métissés
Main dans la main, vieux et fripés
On s’rappellera les soirées qu’on faisait tous les deux à fumer des clopes, déchirés
À danser au milieu du salon, tu taffais dans deux heures
Les yeux imbibés d’alcool, déguisés en Chopper
Quand tu t’marrais à mes blagues les plus nulles
Quand on s’donnait des surnoms ridicules
On dit qu’le temps détruit mais l’temps n’est pas notre ennemi
Parce que plus j’te connais et plus j’me sens béni
Assez béni pour t’emmener à l’église
Dire au prêtre “oublie l’truc où la mort nous sépare, on va rester dans cette vie” (paradis)
On aura plein d’enfants parce que y a qu’ça qui compte
On dormira empilés comme des Maximonstres (paradis)
J’vais enfin pouvoir me poser
La réponse à toutes mes questions s’endort à mes côtés
Qu’est-ce que j’irais faire au paradis
Quand tu t’endors près de moi?
Qu’il le donne à d’autres, le paradis
Je n’en voudrais pas
Quand tu t’endors près de moi?
Qu’il le donne à d’autres, le paradis
Je n’en voudrais pas
Paradis, paradis
Paradis, paradis, paradis
Paradis, paradis, paradis
Paradis, paradis, paradis
Paradis
Paradis, paradis, paradis
Paradis, paradis, paradis
Paradis, paradis, paradis
Paradis
Hoshi - Et même après je t'aimerai (2021)
Paroles :
Tu sais la vie ne vaut rien
Si tes yeux ne sont pas dans les miens
Oh, j’ai du mal à faire le lien
Je deviens pâle sans tes mains
Oh, j’aimerais tout donner pour toi
J’te donne mon corps et puis ma voix
Oh, je pourrais tout voler je crois
Je t’offre mon or et puis ma joie
Si tes yeux ne sont pas dans les miens
Oh, j’ai du mal à faire le lien
Je deviens pâle sans tes mains
Oh, j’aimerais tout donner pour toi
J’te donne mon corps et puis ma voix
Oh, je pourrais tout voler je crois
Je t’offre mon or et puis ma joie
Je t’aime, comment on fait
Je t’aime, plus que tu m’aimes
Je t’aime, comment revêtir le ciel
De la couleur de nos veines
Est ce que tu m’aimeras
Est ce que tu comprendras
Ce que veulent dire les gens
Qui vivent imprudemment
Je t’aime sans la raison
Je t’aime à rendre con
Je t’aime à ma façon
Et même après je t’aimerai
Et même après je t’aimerai
Je t’aime, plus que tu m’aimes
Je t’aime, comment revêtir le ciel
De la couleur de nos veines
Est ce que tu m’aimeras
Est ce que tu comprendras
Ce que veulent dire les gens
Qui vivent imprudemment
Je t’aime sans la raison
Je t’aime à rendre con
Je t’aime à ma façon
Et même après je t’aimerai
Et même après je t’aimerai
Tu sais souvent je me contiens
Tu pourrais être mon grand chagrin
À chaque plaie je jouerai le médecin
Je t’offrirai même mes deux reins
Oh, j’pourrais tout brûler pour toi
Pour qu’enfin il ne reste que moi
Oh, j’pourrais même casser ma croix
De toute façon je ne crois qu’en toi
Tu pourrais être mon grand chagrin
À chaque plaie je jouerai le médecin
Je t’offrirai même mes deux reins
Oh, j’pourrais tout brûler pour toi
Pour qu’enfin il ne reste que moi
Oh, j’pourrais même casser ma croix
De toute façon je ne crois qu’en toi
Je t’aime, comment on fait
Je t’aime, plus que tu m’aimes
Je t’aime, comment revêtir le ciel
De la couleur de nos veines
Est ce que tu m’aimeras
Est ce que tu comprendras
Ce que veulent dire les gens
Qui vivent imprudemment
Je t’aime sans la raison
Je t’aime à rendre con
Je t’aime à ma façon
Et même après je t’aimerai
Et même après je t’aimerai
Et même après je t’aimerai
Et même après, même après je t’aimerai
Et même après je t’aimerai
Je t’aimerai
Je t’aime, plus que tu m’aimes
Je t’aime, comment revêtir le ciel
De la couleur de nos veines
Est ce que tu m’aimeras
Est ce que tu comprendras
Ce que veulent dire les gens
Qui vivent imprudemment
Je t’aime sans la raison
Je t’aime à rendre con
Je t’aime à ma façon
Et même après je t’aimerai
Et même après je t’aimerai
Et même après je t’aimerai
Et même après, même après je t’aimerai
Et même après je t’aimerai
Je t’aimerai